MONEY, MONEY, MONEY

Dans un article précédent, j’avais écrit que le posthumanisme avait une conception bien à lui de l’être humain : fondamentalement, pour ses partisans, ce n’est qu’une machine. Un corps perfectible, à grands coups de modifications bio et nanotechnologiques, capable de transcender les limites de la chair et du temps. En d’autres termes, devenir des surhommes immortels. La question qui suit ce constat est : à qui profite le crime ? Dans une économie de marché, la réponse est invariablement la même : suivez l’argent.

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